Comme porte-parole, il suscite des critiques de « langue de bois », sans pour autant hésiter à tancer publiquement les sorties polémiques des ministres.
Fort conscient de sa dignité, entrant en agonie, il tança un valet parce que le nombre de cierges entourant son lit n'était pas le nombre fixé par l'étiquette.
D'autre part, leur manque de maîtrise des codes hiérarchiques de la marine leur vaut d'être sévèrement tancés par le capitaine du navire, qu'ils appellent « mon brave ».