Lors de la décennie suivante, le village est un carrefour névralgique de la télégraphie, et devient une destination de villégiature pour les riches bourgeois montréalais.
En 1958, le service télégraphie est fermé et les sémaphores sont désormais chargés de la surveillance de l'espace maritime, aérien et terrestre (civil et militaire).