Le processus de dégradation des minéraux sulfurés par les bactéries, qui est à l’origine un phénomène naturel, constitue la base du procédé de biolixiviation.
Cette intermédiaire inconnu serait ensuite utilisée par des bactéries sulfatoréductrices qui en tirent l’énergie issue de la réduction des sulfates en hydrogène sulfuré.