Les jeunes plans de pin maritime sont parfois endommagés par la faune locale (lapins, sangliers), sans compter sur la chenille processionnaire et les scolytes, véritables « fléaux ».
Traitement chimique par pulvérisation aérienne d'insecticides, avec le défaut d'affecter d'autres espèces, voire des espèces prédatrices naturelles de la processionnaire du pin puisque ce traitement n'est pas sélectif.
Ce déplacement processionnaire est un aller-retour ou est circulaire (troménie), parfois ponctué de haltes ou de petites processions circulaires (autour d'une construction, parfois répétitivement).