Le tempo initial revient, non avec une réexposition, mais avec le thème espiègle et primesautier modifié auquel s'intègre immédiatement le motif de quatre notes dans une orchestration très « foraine ».
Un conseil municipal de 1953 rend hommage à son « esprit primesautier et classique formé aux beaux-arts [où s’exprime] son goût des souvenirs grecs et des campagnes romaines ».
Elles sont d'ailleurs particulièrement légères et mélodiques, très caractéristiques des orchestrations primesautières et romantiques des années 1950, avec force violons, guitares, trompettes et castagnettes.