Le mot despotisme est d'ailleurs ici bien choisi, puisqu'il s'agit clairement d'un monarchisme (gouvernement d'un seul) et de surcroît dynastique, soit l'antithèse radicale du républicanisme et de la démocratie.
La notion de royalisme est souvent confondue avec le monarchisme, notion plus large qui inclut entre autres des dimensions impériales, princières et grand-ducales.
À l'extrême-droite, les nationalistes, antiparlementaires, plébiscitaires, autoritaires incarnent une droite « révolutionnaire », et sont les héritiers du boulangisme, du césarisme, du bonapartisme et parfois du monarchisme, et fortement influencés par l'antisémitisme.
Plus tard, elle dira avoir été fascinée par leur inébranlable foi dans le christianisme, leur vaillance et leur courage, notamment face au monarchisme alfonsien.
C’est cette puissance discursive — cette « guérilla verbale » — qui entre autres fit surestimer ou exagérer le poids politique et la menace potentielle du monarchisme pour le système républicain.
À la même époque, il participe aux réunions de l'Entente nationale, fréquente les milieux du syndicalisme révolutionnaire et tente une conciliation entre ce courant et le monarchisme.
Le monarchisme est une doctrine politique qui prône la monarchie, c’est-à-dire une forme de gouvernement dans laquelle une seule personne fonde l'autorité de l'État.
C'est progressivement qu'il rejettera le contrôle et l'autorité des chefs de communautés établis à une époque où le monarchisme épiscopal commence à émerger.