Celles-ci montrent une concentration d'interpellations policières pour appliquer les mesures sanitaires dans les « quartiers populaires », lesquels comptent un nombre élevé de résidents de minorités visibles.
Une nouvelle expertise médicale, remise le 21 août 2019 au juge d'instruction, déclare que la victime souffre de séquelles irréversibles depuis cette interpellation.
Trois personnes sont arrêtées par les militaires tchadiens mais l'un d'eux, un berger touareg, meurt le 19 mai, quelques heures après son interpellation.