La majorité de ces individus apprennent à accepter leur fétichisme et réussissent malgré tout à obtenir une gratification d'une manière souvent appropriée.
Le fétichisme de la marchandise se traduit par un double mouvement : réification des rapports sociaux et personnification des choses (notamment le capital).
Le thème de la déviance du fétichisme, sujet très controversé dans l'histoire de la psychopathologie, devient un des sujets régulièrement abordé dans son travail.
Ainsi, dans le cas du fétichisme, le fétichiste se clive : une partie de lui-même reconnaît l'angoisse de castration, une autre partie ne la reconnaît pas.