Scribonius cherche aussi à se distinguer des droguistes ou pharmacopolae, qu'il considère comme éloignés des idéaux de vertus, en adoptant envers eux un ton condescendant voire méprisant.
Manuel de l'herboriste, de l'épicier-droguiste et du grainier-pépiniériste horticulteur : contenant la description des végétaux, les lieux de leur naissance, leur analyse chimique et leurs propriétés médicales, 1828, 2 vol.
Malgré l'importance de ses terres et de ses revenus en nature, l'abbaye ne peut pas vivre en autarcie et doit s'approvisionner auprès des épiciers, droguistes et producteurs de vins.
Il y a aussi les « demi-frères » que sont les barbiers pour les chirurgiens et les épiciers-droguistes pour les apothicaires, qui leur sont plus ou moins séparés.