Les travaux effectués ont permis de diminuer de façon substantielle, sinon d'éliminer, l'eutrophisation et l'anoxie du lagon, ainsi que la menace de botulisme.
Lorsqu'elles sont fabriquées sans que les règles d'hygiène soient respectées, les viandes transformées présentent des risques risques microbiens de type listériose, staphylocoque, plus rarement botulisme.
La paralysie respiratoire en cas de botulisme grave nécessite une ventilation mécanique (« respiration artificielle ») en milieu de soins intensifs, parfois de plusieurs semaines.