Fouillés, photographiés et affublés d'un numéro de prisonnier, ils doivent remettre leurs effets personnels et se font distribuer une tenue de prisonnier et des sabots.
Cependant, il y ajoute un parti-pris très net, en affublant ses personnages de masques grimaçants, démoniaques, et en libellant ses clichés de titres évocateurs.