On peut le modéliser de façon bien plus précise par un système centré dont il est nécessaire de connaître le grandissement pupillaire g p {\displaystyle g_{p}}.
Les principaux paramètres exploités par les détecteurs de mensonges contemporains sont : la fréquence cardiaque, la conductance cutanée, la fréquence respiratoire, la température corporelle, la pression sanguine et le diamètre pupillaire.
Les écarts pupillaires peuvent être mesurés par l'opticien avec un pupillomètre à reflet cornéen, un simple réglet ou un appareil de prises de mesures numérique.
Ils innervent aussi bien d'autres zones du cerveau, dont certaines sont connues pour être impliquées dans d'autres fonctions dites non-visuelles, comme le réflexe pupillaire.