Les installations sont complétées en 1910 par une écrémeuse centrifuge puis en 1932 par une machine frigorifique pasteurisatrice d’une puissance de deux mille litres à l'heure.
D'autres invertébrés sont associés à la propagation de la maladie, dont plusieurs espèces de coléoptères, d'escargots, de chenilles et de mille-pattes.