En dépit de ces contingences matérielles, il continue à dépeindre l'infamie quotidienne, exploite le filon de son expérience de facteur, et boit toujours davantage.
Les punitions pleuvent : privation de nourriture, de récréation, châtiments corporels, exposition sur un tabouret la tête couverte d'un bonnet d'infamie pendant des heures sans bouger.