Cela dit assez combien l'existence dut être dure aux pauvres peinards de la glèbe toujours sous le coup d'une audacieuse entreprise, d'un coup de main, d'une razzia.
Ils sont caractérisés par une enveloppe plus ou moins épaisse : le péridium, généralement de couleur claire, et la partie intérieure : la glèbe ou gleba, généralement brune, d’où son nom.
Elles deviennent non comestibles à mesure qu'elles vieillissent : la glèbe devient jaunâtre, puis se développe finalement en une masse poudreuse de spores vert-olive.