Philomène agit en démiurge là où les hommes ne sont que des « fiers-à-bras », des « coqs » à l’instar de ceux qu’ils font combattre, et des « aigrefins ».
Finalement, il parvient à remporter la mise sur un casino flottant, retournant à son avantage sa réputation d’homme des bois crédule contre les aigrefins qui croyaient le rouler.
Les escales permettent aux deux aigrefins de donner la mesure de leur talent, faisant par exemple payer des représentations théâtrales sans contenu, avant de prendre la fuite sur le radeau.
Et, dans la liste des aigrefins ruinant le prodigue, les robins se trouvent en fâcheuse compagnie, entremetteurs, hommes de loi, intendants, courtisans et sycophantes.